- Juste après la
   soirée au théâtre, les parents de Julian, appelés Pierre et
   Emmanuelle, s'étaient rendus au commissariat du village
   pour tout expliquer à la police. 
   
   
- Ils furent accueillis par un officier qui
   les emmena dans le bureau du commissaire. 
   
   
- La famille entra dans la pièce : le
   commandant avait une moustache avec des yeux noirs ; il
   était chauve, petit et gros. Il portait un uniforme
   impeccable et un gros nez avec de grandes dents. Son bureau
   était tout blanc et au mur trônait le poster de sa
   brigade, des casiers noirs remplis de dossiers judiciaires.
   
   
   
- Son bureau rappelait Versailles et il
   était assis au centre de la pièce sur une magnifique
   chaise en merisier. 
   
   
- -Je voudrais porter plainte contre une
   femme qui a ligoté et bâillonné mon fils dans
   une cave, dit la Maman de Julian.
   
   
- - Est-ce que vous connaissez son nom et son
   adresse précise ? demanda le policier.
   
   
- - Non, mais mon fils la
   connaît.
   
   
- - Très bien, répondit le
   policier, est-il là ?
   
   
- - Oui, il attend dans
   l'entrée.
   
   
- - Est-ce que je pourrais lui parler ? J'ai
   des questions à lui poser.
   
   
- - Oui, bien sûr, je vais le chercher
   ! 
   
   
-  
   
   
- Julian raconta son histoire et sa triste
   mésaventure, dans la cave. Le commissaire lui demanda s'il
   voulait porter plainte et Julian répondit oui. 
   
   
- Le fonctionnaire lui demanda son nom, son
   prénom et à quoi ressemblait la coupable. Julian fit
   la description de la voleuse. 
   
   
- Tout en écoutant attentivement les
   explications de Julian, le policier regarda dans les fichiers
   informatiques et y fit soudain une découverte
   intéressante.
   
   
- - Il y a quelques jours, un homme est venu
   faire une déposition pour vol. On lui avait volé
   mille euros dans la nuit. C'est certainement cette femme, la
   coupable. Elle a cambriolé cet homme mais a perdu son
   argent près de la fête foraine, à cause du
   vent. L'argent que tu as trouvé, Julian, c'est de l'argent
   volé ! 
   
   
- Tout à coup le policier s'exclama :
   
   
   
- - Bingo ! On a touché le gros lot
   !
   
   
- - Pourquoi dites-vous ça ? lui
   demanda Julian.
   
   
- - C'est une voleuse et une pickpocket. Elle
   a volé ''L'homme vert'' de Tarentino et elle est
   recherchée ! 
   
   
- Les policiers retrouvèrent alors la
   véritable identité de Zorha en consultant les
   fichiers des polices européennes.
   
   
- - Il faut l'arrêter ! cria la
   famille.
   
   
- - Appelez le GIGN, le FBI ou la CIA , qui
   vous voulez, les amis, mais faites vite ! cria le commissaire dans
   le haut-parleur.
   
   
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- Quelques heures plus tard, Zorha arriva au
   commissariat, les menottes aux poignets.
   
   
- L'homme, à qui Zorha avait pris
   l'argent, était là, lui aussi. 
   
   
- Les policiers lui avait demandé de
   venir. C'était un homme très riche, vivant dans un
   château. 
   
   
- Il fit la connaissance de Julian et celle
   de ses parents. Il était très heureux de retrouver
   son argent, mais il s'en moquait bien, au fond. Pour
   récompenser l'honnêteté de Julian et de ses
   pauvres parents, il leur donna un chèque de 25.000 Euros.
   Ils allaient enfin sortir de la pauvreté où ils
   survivaient ! Julian décida alors d'utiliser une partie de
   cet argent pour payer à lui, à Maxou et à
   Céline, les billets d'avion nécessaires pour pouvoir
   assister au
   mariage de Tonio et d'Alexandra.
   
   
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                             -  
   
   
 - Retour
   début du roman
   
   
- Résumé
   
   
   
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